Retour à Paris (place Paul Signac, 20 ème)
De retour à Paris, je constate que la mode de peindre les grosses boites grises électriques a pris (à Québec, en juin dernier, j’en ai vu plusieurs. Billet à venir).
J’aime bien cette occupation de l’espace urbain.Et les doigts qui sortent du cadre…

Evidemment, rien à voir
avec le peintre anarchiste Paul Signac (1863-1935), né et mort à Paris, enterré au Père-Lachaise et inventeur du « pointillisme » avec son ami Georges Seurat.
Je ne sais pas si ces peintures sont « sauvages » ou autorisées officiellement par la mairie d’arrondissement ou de Paris.
6 Comments
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Il y beaucoup d’humour et de talent dans ses oeuvres. Espérons que l’on ne les effacera pas
Roh j’adore!
Moi aussi, j’aime bien. Bon, je vais me faire jeter de tes commentaires mais tant pis… à Versailles, c’est autorisé et on a peint sur les coffrets électriques les fables de la Fontaine et certaines scènes de Molière. Ok, c’est l’Ecole d’art mural de Versailles mais c’est mieux que les boites en plastique jaune !
Sans doute une initiative du maire (que je connais un peu)… Je trouve ça très bien en fait. Pourquoi donc sanctionnerais-je une quasi Versaillaise heureuse? Il en faut! 😉
Ah ! J’aime beaucoup ! 🙂
[…] et Repetto, les vilaines boites électriques ont pris des couleurs. Il était temps, dans le populaire 20e, on a pris de l’avance! Rue des Francs-Bourgeois, Paris, […]