Dans « L’Idéal » sorti en 2008, Barbara Carlotti, dont j’ai parlé ici, chantait « les femmes en zibeline (qui) promènent leur grand style devant les vitrines des grands magasins », les « vies, Dans des maisons de pierre, Dressées dans la nature, Meublées d´objets anciens, De frugal banquet devant le ciel clair, Pour simple nourriture la musique et le vin ».

Dans « L’amour, l’argent, le vent » sorti cette année, elle chante l’amour sous toutes ses formes et même en duo avec Philippe Katerine.

C’était un soir d’été à Paris
fenêtre ouverte car il faisait chaud
mais tout s’éclaire maintenant avec une certaine ironie
comme c’était beau
comme c’était chaud
tu en sais trop

Mon dieu mon amour cette mélodie
un astre clair un chant d’oiseau
nous chantions au milieu de la nuit une litanie sans les mots

 Le clip, tourné à la piscine Pailleron à Paris au charme certain (construite en 1933 et entièrement rénovée après une fermeture de plus de dix ans) est d’une excentricité à la hauteur des deux chanteurs.Voir Katerine nager, c’est tout de même quelque chose…