Montréal, de la province du Québec au Canada, est une métropole qui a gardé le charme des villes anciennes. Comme le disent les Canadiens, certains quartiers sont New-York telle qu’elle était à la fin du XIXème siècle. Ce qui est certain, est que les petits immeubles anciens côtoient les édifices modernes en un contraste plaisant et harmonieux. Comme le plus souvent, j’y ai passé peu de temps fin mai car c’était un déplacement professionnel. Le temps était encore frais pour nous autres Parisiens, 15° en journée à peu près ce qui n’empêchait pas les habitants d’être quasiment tous en bras de chemise. Les hivers sont tellement froids (jusqu’à moins 30° et 1 mètre de neige en quelques heures) que le moindre réchaufffement est signe du printemps.
Il faut se promener entre la rue Sainte-Catherine et le Vieux-Port et se laisser porter par l’atmosphère calme des rues,
où les différentes époques de construction se succèdent.


On trouve des bières locales excellentes dans tous les restaurants,
la viande y est savoureuse et chaque quartier possède
des reverbères différents.

Ce qui doit permettre de savoir à peu près où on est….
Les groupes sculptés sont parfois curieux…

Cette oeuvre du sculpteur anglais Raymond Mason (1922-2010), « La foule illuminée », présente, à travers ses personnages, différents degrés d’émotion pour traiter de la violence de la foule et de la fragilité de notre espèce.

A moins d’une heure de route, c’est la pleine nature…
et ses lacs – qui amènent des mouches noires très agressives!Il faut se pulvériser de DDT si on veut boire un verre dehors.

J’ai évidemment goûté l’eau de source locale, comme à Sofia. Celle-ci porte le joli nom de Naya.

Et je me suis égarée dans les supérettes locales (prochain billet!).
Si vous souhaitez vous reposer de la frénésie new-yorkaise, ou si vous préférez qu’on vous parle en français, Montréal est la ville idéale!