Pendant que je quittais la Toile à mon corps défendant, mes copines des So Busy Girls publiaient mon interview dans la rubrique « l’interview blogueuse de la semaine ». On n’est jamais vraiment très loin de la Toile finalement!
On la trouve en ligne mais pour vous éviter de cliquer la voici en partie car il faut que vous alliez sur leur site aussi…..

Peux-tu

nous présenter ton blog en quelques lignes ?
L’idée de départ – qui ne ressemble plus forcément au résultat final- était que les blogueuses de plus de 50 ans ne sont pas très représentées en France. D’où le nom de Nifty Fifty (la cinquantaine classieuse) and the city (qui se réfère évidemment à « Sex and the city », ma série préférée car elle parle des femmes avec humour et finesse). Nifty Fifty and the City est pour les femmes qui aiment les hommes comme ils sont tout en continuant à espérer qu’ils soient différents; pour les femmes ni misogynes, ni mijaurées qui sont solidaires des autres femmes, leurs voisines, leurs amies, leurs filles, leurs sœurs, leurs mères sans les juger à leurs kilos en trop ou leurs neurones en moins; pour celles qui aiment lire, réfléchir, rêver; et… pour les hommes qui aiment ces femmes-là, les vraies.

Comment cette idée t’est-elle venue ?
C’était écrire ou finir toutes les bouteilles de ma cave. Ecrire était moins nuisible à ma santé physique et mental

Ton tic irrépressible de blogueuse, c’est quoi ?
Changer le nom des catégories de mes liens…

Les sujets que tu abordes le plus souvent ?
L’amour sous toutes ses formes: l’amour et la littérature, l’amour et le sexe, l’amour et les petits animaux, l’amour et les hommes (oui, parfois on a besoin d’eux pour ça…). Et le plus possible, les femmes que j’aime lire, regarder (les photographes) ou écouter.

Pour toi bloguer, c’est essentiel / un passe-temps sympa / vraiment secondaire ?
En fait c’est essentiel. Mon petit cerveau mouline toujours de nouvelles idées. Si je ne les transforme pas en chair à blog, j’ai des insomnies.

Les So Busy Girls ont aussi sous le coude ma fiche anthropométrique.
En avant-première et totalement inédite, des extraits dans le « qui suis-je? » Et comme le dit Richard David Precht : « Qui suis-je et, si je suis, combien?* ».
En allemand dans le texte: « Wer bin ich und wenn ja, wie viele? »

Il a une belle gueule ce Precht en plus!
A lire en Pocket (Belfond 2010).